On parle souvent de l'importance de captiver son audience avec de bonnes histoires, mais est-ce que tu penses aux histoires que tu te racontes à toi-même?
Révélation : ton storytelling commence bien avant d'écrire un mot. Tout commence dans ta tête. 🧠Cette petite voix qui te chuchote "Je ne suis pas assez intéressante", "Mon parcours n'a rien de spécial", ou "Les autres font mieux" peut vraiment jouer les trouble-fêtes.
Et soyons honnêtes, cette petite voix peut être super persuasive, non? 🙄 Elle s’invite quand tu t’y attends le moins, comme un petit diable sur ton épaule qui adore saboter tes efforts. Mais voilà le truc : si tu la laisses faire, cette voix va influencer non seulement la manière dont tu racontes ton histoire, mais aussi la manière dont ton audience va la recevoir. Et ça, c’est le pire scénario pour un entrepreneur : raconter une histoire qui n’atteint pas son audience, non pas parce qu’elle n’est pas intéressante, mais parce qu’elle n’a pas été racontée avec conviction.
Imagine ça : tu es sur le point de rédiger un post sur ton parcours entrepreneurial. Tu penses à cette fois où tu as dû pivoter entièrement ton entreprise en quelques mois. Mais là, cette voix intérieure te murmure : « Est-ce que ça vaut vraiment le coup de partager ça? Ce n’est pas si impressionnant. » 🤔 Alors, tu finis par raconter l’histoire, mais en omettant les détails croustillants, les moments de doute, les petites victoires qui rendent ton parcours humain et authentique. Au final, ton audience lit ton post, mais elle ne ressent pas vraiment l’émotion derrière ton expérience. Pourquoi? Parce que tu as laissé ta petite voix intérieure diluer la puissance de ton récit.
Et là, ce n’est pas seulement ton histoire qui souffre, c’est aussi ton audience. Tu les prives d’une connexion réelle, d’une chance de se voir à travers ton parcours et de trouver l’inspiration dont ils ont besoin. Les conséquences d’écouter cette petite voix limitante vont au-delà de ton storytelling. Elles impactent ton business tout entier. Une histoire mal racontée peut réduire ton influence, diminuer l’engagement de ton audience, et même faire fuir des clients potentiels. Parce que soyons honnêtes, si tu ne crois pas en ta propre histoire, pourquoi ton audience y croirait-elle? 🤷♀️
Alors, comment la faire taire, cette voix? 🛑 Eh bien, ça commence par réécrire le script dans ta tête. Remplace ce « Je ne suis pas assez…» par « J’ai traversé des épreuves qui m’ont rendu plus fort ». Dis-toi : « Mon parcours est riche d’enseignements qui méritent d’être partagés. » Quand tu changes ton discours intérieur, tu changes la manière dont tu racontes ton histoire – et, par ricochet, la manière dont ton audience la reçoit.
C’est un peu comme rénover une maison ancienne : tu descends dans le sous-sol, où tout est sombre et encombré de vieilles affaires oubliées. Au lieu de les ignorer, tu fais le tri, tu élimines ce qui ne te sert plus, et tu redécouvres des trésors cachés sous la poussière. Puis, tu fais entrer la lumière, tu repeins les murs, et tu crées un espace où chaque pièce raconte une histoire qui te ressemble. De la même manière, en faisant le ménage dans ton esprit, en remplaçant les pensées limitantes par des convictions fortes et positives, tu donnes à ton storytelling une nouvelle vie, plus lumineuse et pleine de sens. ☀️
En gros, si tu veux que ton storytelling soit puissant et authentique, commence par te raconter de meilleures histoires à toi-même. Crois en la valeur de ton parcours, et ton audience le ressentira aussi. C’est là que la magie opère : quand tu crois en ce que tu racontes, les autres ne peuvent que te suivre. ✨ Ton histoire n’est pas juste un récit que tu partages, c’est une preuve vivante de tes valeurs, de tes luttes et des leçons apprises en cours de route. Elle doit être racontée avec toute la force et l’énergie qu’elle mérite.
Et toi, quelle histoire te racontes-tu? Est-elle en train de booster ton storytelling ou de le saboter? Peut-être qu’il est temps de réécrire ce récit intérieur pour que ton histoire extérieure soit aussi puissante qu’elle le mérite.
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